11,3 km | 14,5 km-effort
Le gui ne touche pas terre. Il faut donc lever la tête pour l’apercevoir dans les arbres fruitiers, mais aussi dans les peupliers, les sapins, les hêtres, les aubépines et les chênes. Il se développe sur l’arbre et se nourrit de sa sève. Evidemment, il fatigue l’arbre ! Les druides celtes cueillaient le gui sacré (celui qui pousse sur les chênes) avec une serpe d’or. On le considère aujourd’hui comme une plante porte-bonheur.
Marcia
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