Le Brouillet Bonnecombe Le Saltou

mdauzat

Utilisateur

Longueur

14,2 km

Altitude max

1347 m

Dénivelé positif

344 m

Km-Effort

18,7 km

Altitude min

1118 m

Dénivelé négatif

344 m

Boucle

Oui

Date de création :

2024-09-25 19:13:40.131

Dernière modification :

2024-10-03 08:57:07.711

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Marche nordique
2h50
Difficulté : Moyen

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À propos

Randonnée Marche nordique de 14,2 km à découvrir à Occitanie, Lozère, Saint-Pierre-de-Nogaret. Cette randonnée est proposée par mdauzat.

Description

Fin septembre en Aubrac, le temps peut réserver des surprises. Ce samedi 28 septembre, c'est un vent insistant projetant sur le visage des randonneurs une pluie glacée (ou du grésil), tandis que les nuages et la brume estompent le paysage. Mais il en faut plus pour décourager les marcheuses et marcheurs qui s'élancent, à partir du hameau "Le Brouillet" en direction du Col de Bonnecombe avec l'espoir d'admirer le petit lac du même nom. Hélas, celui-ci n'est pas accessible car réservé aux pêcheurs, absents en cette saison, et, de plus, le lac est vide ! Qu'importe ! Les randonneurs se dirigent vers la Cascade du Saltou, moins connue que la Cascade du Déroc mais tout aussi charmante, bien que des plus modestes. Elle se trouve sur le cours du ruisseau Le Pesquio et dégringole sur des orgues basaltiques. L’accès se fait, en principe, à pied par un chemin en bordure de la route menant du Col de Bonnecombe vers Les Hermaux. Malheureusement, le chemin en question n'est pas accessible (ni indiqué) car les vaches occupent le terrain. Ayant (très) récemment vêlé, elles regardent d'un mauvais œil les randonneurs et ne sont pas disposées à les laisser passer (a fortiori s'ils sont accompagnés de chien). On tente néanmoins un détour pour rejoindre, en aval, le ruisseau du Pesquiou, mais on ne heurte bientôt au même problème.
N'ayant vu ni le lac ni la cascade, les marcheuses et marcheurs n'abandonnent pas leur bonne humeur et progressent vaillamment sur les pistes, puis les chemins (très humides), traversés par de nombreux et charmants ruisseaux. Les vaches, imperturbables, les regardent passer avec indifférence (tant qu'ils restent de l'autre côté de la clôture), et, peut être une certaine ironie que leur regard bovin ne trahit pas.
A l'arrivée, toutes et tous sont cependant fiers et contents de leur exploit et pensent avoir bien mérité l'aligot promis.

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