Ce conglomérat de cailloux et de ciment naturel (le poudingue) est étonnant par son profil humain. La dénomination « Caillou-qui-Bique » proviendrait, selon un chroniqueur local, du patois : dans le jeu de trictrac ou de zanzibar, on désigne de la sorte un dé qui se maintient en équilibre sur une arête en s’appuyant sur le rebord du jeu ou d’un autre dé. Face à ce rocher, une pierre gravée d’une poésie d’Émile Verhaeren invite à écouter le murmure de la rivière. Ces lieux inspirèrent de nombreux vers au poète qui, entre 1899 et 1916, effectua plusieurs séjours à Roisin dont il appréciait la quiétude.
À deux pas de la maison où il avait l’habitude de séjourner, la Province a installé un centre d’hébergement destiné à l’accueil des classes vertes.
Marche
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