Aujourd’hui disparue, l’école de Mortinsart subsista jusqu’à la Première Guerre. L’auteur évoque le triste sort du modeste bâtiment qu’il n’a connu qu’à l’état de ruines, et règle en quelques lignes la fin pitoyable du personnage du vieil instituteur dans son roman Champvenance, Éd. Duculot, 1987, pp. 215.
C’est à l’école communale de Villers que l’élève Jean Mergeai se rendait chaque jour à pied. Dans un chapitre intitulé « Le faiseur de lumière », il rend hommage à son maître d’école, Joseph Weicker, pour ses hautes qualités d’homme et de pédagogue. Jean MERGEAI, Du temps de ma maison, Éditions de la Dryade, Vieux-Virton, 3e éd. 1972, pp. 55-73.
Marche
Utilisateur