Si les cultures sont nécessaires d’un point de vue économique et alimentaire surtout, leur intensification est toutefois délétère pour la biodiversité. Ici, même les bordures de parcelles
abritent peu d’espèces messicoles telles que coquelicots ou bleuets, accompagnant autrefois abondamment les cultures. Suite à la sélection des graines et au recours aux pesticides, ces plantes, qui concourraient à la diversité des espèces végétales au sein des cultures et à la faune qui y est inféodée, disparaissent progressivement, au contraire de ce que l’on
peut observer dans des milieux agricoles gérés de manière extensive.
Marche
Randonnées de Natura 2000 GUIDE+