Les réflexions sur le parc ont commencé à partir de 2002, la paysagiste Jacqueline Osty et son équipe commençant à travailler sur le projet à partir de 2004 dans une optique de développement durable avec, en particulier, un bilan carbone nul ou proche de zéro, une gestion optimisée de l'énergie par l'utilisation d'une éolienne et de panneaux solaires, la récupération des eaux pluviales ou la gestion des déchets.
Par ailleurs, les plantes utilisées sont généralement des plantes peu consommatrices en eau et en traitements chimiques ou des plantes locales demandant peu d'engrais et d'insecticides. La seule concession à l'environnement est l'usage de deux bacs de terre de bruyère.
Conçu pour s'intégrer au maximum dans la ville, le parc doit s'étirer le plus possible vers les nouveaux bâtiments, « à la conquête des moindres parcelles disponibles, au plus près des immeubles. La végétation s'étirera jusque dans les rues alentour3 ».
Le parc est situé sur le terrain de l'ancienne gare de marchandises des Batignolles. En témoignage de cet héritage ferroviaire, les allées du parc reprennent à de nombreux endroits les anciennes voies ferrées.
Le parc est traversé par les voies d'un raccordement de la Petite Ceinture aux voies ferrées au départ de la gare Saint-Lazare. Ces voies fermées par des butoirs aux deux extrémités ne sont plus utilisées.
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