Le pâturage des moutons est assuré par un berger qui déplace son troupeau de trois cents têtes dans la vallée du Viroin. Ce pâturage moderne renoue avec la tradition agropastorale ancestrale. Les moutons ont l’avantage de pouvoir accéder à des sites exigus sur de fortes pentes exposées plein sud. Évidemment, ce sont des races qui se contentent d’une nourriture moins riche que leurs cousins à viande : ils ne dédaignent pas les épines, les feuilles, les graminées et les rejets.
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