À l’entrée de ce dernier, un montage original (symbolisant un pont-levis) relate la légende des chevaliers maudits de Bodange, seigneurs cruels qui opprimaient la population en se livrant à toutes sortes d’exactions. Heureusement les prières des pauvres villageois furent exaucées : au retour d’une bataille, ces chevaliers furent écrasés par le pont-levis de leur propre château et réduits à l’état de lutins. Les habitants en profitèrent aussitôt pour massacrer ces gnomes, incendier et raser le château.
Comme à chacune des dix-neuf étapes du Circuit des Légendes, cette sculpture en acier, forgée par l’artisan Jean-Marc Bret, représente le sujet principal (fée, nain, loup-garou, magicien, etc.) d’une des légendes du patrimoine de la Haute-Sûre.
Un « quartier de vie», large abri surmonté d’un toit d’ardoises, a été construit à l’initiative de la fondation Roi Baudouin
La terminaison « -ange » des toponymes tels que « Martelange », « Radelange », « Bodange », « Tintange », (…)est en fait la transposition romanisée du suffixe germanique « -ingen » signifiant « chez ceux de, chez les gens de ».
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