La place de l'Albertine doit son nom à un adjectif assez bizarre qui semble avoir été forgé par le premier ministre de Broqueville, lorsqu'il fit part aux Chambres, le 24 mai 1934, du désir du roi Léopold III de créer une nouvelle bibliothèque nationale avec des fonds consacrés à des monuments à la mémoire du roi Albert Ier.
La dénomination ne consacre pas la gloire d'Albertine Fronsac, dite Titine, « chanteuse de genre » dans les revues de l'Alhambra, vers 1925. L’intéressée répéta avec tant de conviction qu'elle avait enfin une place à son nom que certains la crurent !
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