Sainneville sur Seine / Etainhus gare / Sainneville sur Seine

MarcherEnsemble

Usuario

Longitud

9,4 km

Altitud máxima

124 m

Desnivel positivo

94 m

Km-Effort

10,6 km

Altitud mínima

86 m

Desnivel negativo

94 m

Boucle

Sí

Fecha de creación :

2020-10-26 08:08:13.361

Última modificación :

2023-01-01 14:33:00.339

(1 Opinión)

Senderismo
2h33
Dificultad : Muy fácil

Bici de montaña
42m
Dificultad : Fácil

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A propósito

Ruta Senderismo de 9,4 km a descubrir en Normandía, Sena-Marítimo, Sainneville. Esta ruta ha sido propuesta por MarcherEnsemble.

Descripción

Départ du parking de la salle des fêtes de Sainneville sur Seine.
N'utilisez pas le parking de la mairie pour le laisser libre pour les clients des commerces: merci!

Sainneville-sur-Seine

Chaque ville, chaque village a une grande et petite histoire et une originalité sou-vent insoupçonnée ou inconnue. Un foisonnement d’indices témoigne de la vie du passé parfois oublié de nos communes.
Ainsi, vous qui arpentez le canton dans tous les sens et par tous les temps depuis si longtemps saviez-vous que :
Habitants : Les Sainnevillais (850 en 2019).

Origines du nom : Le nom de la localité est attesté sous les formes de Sanavil-la en 1195, Sainevilla vers 1210, Sanavilla vers 1240, Seneville en 1319, Saigneville en 1324, Sennevilla en 1397, Ecclesia parrochia Sancti Macuti de Sanavilla entre 1467 et 1472, Saint Maclou de Sainneville en 1671, de Senne-ville en 1742, Senneville en 1715, Sainneville en 1757, Sainevilla et Senneville en 1788, Sainneville en 1953, Sainneville-sur-Seine en 1953. Littéralement la « ville saine », au sens de « domaine rural fertile ».
Historique : Les premières traces d’habitat sont attestées par une hache polie en épi diorite, une pointe de flèche en silex et une monnaie d’or de l’époque d’Hadrien (Empereur romain 117 /138) découvertes en 1864. Au XII éme siècle l’église est sous patronage royal. Le 2 décembre 1374 elle est réunie, sous les auspices de Nicolas Oresme, chanoine et doyen de la cathédral de Rouen, à un collège d’étudiants en théologie nommé collège des Illuminés, puis collège des Maître Gervais. Au XVI siècle, les maîtres et écoliers du collège parisien Saint-Martin-du-Mont sont seigneurs de Sainneville. Puis leur succèdent à ce titre Pierre le Petit, conseiller au Parlement de Rouen au XVII éme siècle, et ensuite les châtelains Bau-dot, occupant un château détruit avant l’établissement du cadastre napoléonien et situé à la ferme des hauts murs, route d’Epretot. Vestige d’une immense cour ma-sure cauchoise. À l’origine la ferme est fortifiée et son plan reprend celui du camp romain. Progressivement la cloture de pierre remplace le fossé et le talus planté d’arbres en quinconce. Les murs avec portail et pavillons d’angles remontent au XVIII éme siècle.

L’église St Maclou : (XII, XVI, XVII éme). Cette église est remaniée aux XVI éme et XVII éme siècles. Il subsiste d’une construction antérieure la ne »f romane, avec ses ouvertures hautes, ornée de chapiteaux décorés de motifs animaux et végétaux.

Les 3 Arbres de la Liberté : 1889, Place du centenaire. L’arbre de la liberté est un symbole de la liberté, depuis la période de la Révolution française. Il symbolise aussi en tant qu'arbre de la vie, la continuité, la croissance, la force et la puissance. Il est devenu au cours du XIX siècle un des symboles de la République française avec la Marianne ou la semeuse. Il figure depuis 1999 sur les pièces françaises d'un euro et de deux euros.
Cent ans après la Révolution, de nombreux villages plantent un arbre de la Liberté. C’est le cas à Sainneville où instituteur et notables organisent des réjouissances à cette occasion, le 5 mai1889. Son discours terminé le maire fait procéder à la plan-tation des arbres commémoratifs, après quoi le conseil municipal offre le vin d’honneur et distribue des jouets aux enfants.

La Mairie : XIII et XIX éme A l’ origine construit pour être le presbytère ce bâtiment comprend un étage à pans de bois, refait en briques au XIX éme, d’où le contraste entre les teintes du haut en briques de St Jean et du bas, en briques industrielles.

Le pavillon du Clos-Viger : XIXéme C’est la véritable maison de maître telle que Guy de Maupassnt l’a décrite, édifiée à l’intérieur de clos masure, vaste terrain ceint d’une rangée de hêtres. Il abrite également la cour plantée d’arbres fruitiers, le co-lombier, le puits, la mare, le four à pain et les bâtiments agricoles

La ferme de Drumare. XVI et XIX éme La partie à pans de bois, avec sculpture sur le pigeâtre, est surélevée au XIX éme , et l’ensemble est constitué de bâtiments plus récents, d’un four à pain et d’une mare dans la cour.